Je vous en avais parlé sur mon ancien blog, j'avais eu des doutes quant à la scolarité de Ptiloup : école publique, Montessori, Calendreta, IEF...
Nous avions eu la chance d’obtenir une très précieuse place dans la Calendreta dont je vous parlais… cependant,
cela nous revenait beaucoup plus cher que prévu (30€/mois, en rajoutant à cela le loyer, les frais de la garderie, de la cantine, l’essence et le temps pour faire les trajets…) : certes, cela aurait toujours été moins cher qu’une école Montessori… mais nous n’avons vraiment pas les finances en ce moment !!
cela nous revenait beaucoup plus cher que prévu (30€/mois, en rajoutant à cela le loyer, les frais de la garderie, de la cantine, l’essence et le temps pour faire les trajets…) : certes, cela aurait toujours été moins cher qu’une école Montessori… mais nous n’avons vraiment pas les finances en ce moment !!
La seule chose qui m’a retenue de ne pas faire l’IEF, c’est mon coté asocial - qui m’est d’ailleurs très difficile au quotidien. Nous ne sortons au final pas tous les jours #mèreindigne : si ça ne tenait qu’à moi, je resterai d’ailleurs dans mon terrier chez-moi (j'y suis tellement bien !). J’ai la grande peur – partagée par mon mari – que Ptiloup n’acquière pas suffisamment de compétences sociales sans aller à l’école.
Du coup, nous avons finalement opté pour l’école publique du coin… avec beaucoup de regret, surtout pour moi.
Nous avons décidé de ne l’y mettre, pour le moment, que le matin (l’après-midi, il fait encore une longue sieste).
Nous avons décidé de ne l’y mettre, pour le moment, que le matin (l’après-midi, il fait encore une longue sieste).
La première semaine, la séparation a été très difficile pour lui (pleurs…) : normal, quoi !
Puis, il a commencé à prendre ses marques.
Puis, il a commencé à prendre ses marques.
Au compte-gouttes, Ptiloup me raconte des petits détails de ses journées : lectures, comptines, peinture, bien sûr ! mais aussi :
« A la recré, je fais rien, je m’assois sur un banc tout seul et je regarde ».Mince, je me sens complètement désemparée : mon fils aurait-il hérité de mon coté asocial?
Depuis quelques jours, viennent enfin les détails tant redoutés : Untel qui a tiré les cheveux d’Unetelle.
Et ce même Untel qui a bousculé mon fils; et l’a fait tomber.
Et Machine (dont il me parle en bien depuis le début, « parce qu’elle est très joulie ») qui lui a tiré les oreilles, sans que la maîtresse la voit.
Et ce même Untel qui a bousculé mon fils; et l’a fait tomber.
Et Machine (dont il me parle en bien depuis le début, « parce qu’elle est très joulie ») qui lui a tiré les oreilles, sans que la maîtresse la voit.
Mon mari a pris rdv avec l’institutrice de Ptiloup, afin de faire le point… d’après elle, tout ce que Ptiloup dit est vrai (bien sûr, elle réagit lorsqu'il y a des gestes violents de la part des enfants : je ne la juge pas du tout). Ptiloup, habituellement TRES bavard, est complètement silencieux à l’école. Il reste à coté de la maîtresse pendant la récréation. Etc.
… Et donc à la maison, c’est un peu la cata : Ptiloup s’est mis à taper son père, à crier, à se plaindre constamment.
Mon mari et moi nous retrouvons désemparés : Ptiloup est d’un naturel TRES doux. Il n’a jamais reçu de fessée, et à la maison, tout le monde s’excuse lors d’un comportement inapproprié (cris, mauvaise humeur…).
Depuis la rentrée, nous vivons une sorte de « terrible two » puissance 1000 !!
Mon mari et moi nous retrouvons désemparés : Ptiloup est d’un naturel TRES doux. Il n’a jamais reçu de fessée, et à la maison, tout le monde s’excuse lors d’un comportement inapproprié (cris, mauvaise humeur…).
Depuis la rentrée, nous vivons une sorte de « terrible two » puissance 1000 !!
Nous essayons de mettre des mots sur ce qu'il ressent, et cela semble lui faire du bien... ponctuellement.Nous coachons donc tous les soirs Ptiloup pour qu’il crie « NON !! T’AS PAS LE DROIT !! » lorsqu’on l’embête.
J'ai essayé de mettre en scène "l'école" avec les playmobils.
Pour le moment, il n'y a aucun résultat.
Dernière astuce : j'ai invité des "copains-copines" à lui (à sa demande) pour un goûter, cet après midi. Peut-être qu'en se sentant en sécurité chez lui, il créera des liens plus facilement, et s'apaisera ainsi?
J'ai essayé de mettre en scène "l'école" avec les playmobils.
Pour le moment, il n'y a aucun résultat.
Dernière astuce : j'ai invité des "copains-copines" à lui (à sa demande) pour un goûter, cet après midi. Peut-être qu'en se sentant en sécurité chez lui, il créera des liens plus facilement, et s'apaisera ainsi?
Je fini donc cet article par un appel à l'aide : auriez-vous des conseils à me donner concernant les accès de violence de mon fils?
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