A partir de ses deux ans, Ptiloup avait une vision très particulière de l’alimentation (comme tous les enfants de son âge, nan?!) : il ne mangeait quasiment que des pâtes, et des tartines avec de la purée d’amande le matin. C’est tout. Les légumes ne passaient plus du tout, les fruits non plus…
Une vraie cata !
Une vraie cata !
Pourtant, j’adore cuisiner des petits plats sains ! Mon fils me voit tous les jours manger des légumes, des céréales complètes, des légumineuses, des fruits, etc.
Je vous avais déjà montré des idées de repas que je prépare ici.
Je vous avais déjà montré des idées de repas que je prépare ici.
Bref, je sais bien que c’est une étape « normale » du développement des enfants. Opposition, peur des nouveaux aliments… le combo gagnant !
Mais je me sens toutefois frustrée, car j’ai peur qu’il manque de vitamines !
Je ne veux pas avoir de rapport de force avec lui, car ce n’est pas ma manière de faire. Je préfère lui laisser le temps de traverser cette phase, négocier, ou, encore mieux : trouver une solution ludique pour qu’il mange à nouveau des légumes et fruits !
Mais je me sens toutefois frustrée, car j’ai peur qu’il manque de vitamines !
Je ne veux pas avoir de rapport de force avec lui, car ce n’est pas ma manière de faire. Je préfère lui laisser le temps de traverser cette phase, négocier, ou, encore mieux : trouver une solution ludique pour qu’il mange à nouveau des légumes et fruits !
Même s’il n’en mange pas, je lui propose à chaque repas des légumes/fruits : il râle d’ailleurs lorsqu’il les voit dans son assiette !
Je lui propose parfois de participer à la préparation du repas, tâche de « bien » présenter ses assiettes, et j’ai déjà testé des recettes rigolotes mais saines : les galettes, les cakes salés, le bananabread sans sucre, les glaces aux fruits… parfois, youpi ! cela marche. D’autres fois, non.
Je lui propose parfois de participer à la préparation du repas, tâche de « bien » présenter ses assiettes, et j’ai déjà testé des recettes rigolotes mais saines : les galettes, les cakes salés, le bananabread sans sucre, les glaces aux fruits… parfois, youpi ! cela marche. D’autres fois, non.
Au niveau de l’équilibre alimentaire, Ptiloup n'est pas calé sur le sujet – et c’est normal vu son âge : « Mais siiiiii je mange des légumes : je mange des pâtes ! » ou « avec les pâtes, je veux du RIZ !! » (avec le ton qui va avec).
Voici donc un petit support que j’ai fabriqué, et qui, j’espère, l'aidera à comprendre comment composer une assiette de manière équilibrée.
Puisque je suis végétalienne, et que mon fils mange végétalien la plupart du temps, j’ai évidemment adapté l’assiette à nos habitudes alimentaires : je n’ai pas représenté de produits d’origine animale.
Puisque je suis végétalienne, et que mon fils mange végétalien la plupart du temps, j’ai évidemment adapté l’assiette à nos habitudes alimentaires : je n’ai pas représenté de produits d’origine animale.
J’ai imprimé ces images, les ai plastifiées et découpées.
J’ai expliqué que le cercle représente une assiette, et qu’il pouvait s’amuser à remplir l’assiette en respectant les codes couleur : vert pour les légumes, bleu pour le dessert (fruits et oléagineux), jaune pour les féculents, rouge pour les protéines végétales (légumineuses).
J’ai juste mis les aliments que je propose le plus souvent : par exemple pour les féculents, je n’ai mis que les pâtes, le riz et les pommes de terre, alors que bien souvent, je lui propose des cakes salés, du quinoa, du sarrasin, du millet, etc.
Les codes couleurs permettent de le familiariser aux différents type d’aliments.
Cela l'a bien amusé !
Il a évidement essayé de se composer une assiette « à sa manière » : un tiers de pâtes, un tiers de riz, une banane.
J’ai expliqué que le cercle représente une assiette, et qu’il pouvait s’amuser à remplir l’assiette en respectant les codes couleur : vert pour les légumes, bleu pour le dessert (fruits et oléagineux), jaune pour les féculents, rouge pour les protéines végétales (légumineuses).
J’ai juste mis les aliments que je propose le plus souvent : par exemple pour les féculents, je n’ai mis que les pâtes, le riz et les pommes de terre, alors que bien souvent, je lui propose des cakes salés, du quinoa, du sarrasin, du millet, etc.
Les codes couleurs permettent de le familiariser aux différents type d’aliments.
Cela l'a bien amusé !
Il a évidement essayé de se composer une assiette « à sa manière » : un tiers de pâtes, un tiers de riz, une banane.
Nous avons ressortis les cartes de nomenclature sur les fruits et les légumes : nous nous sommes amusés à les classer par catégories, mais aussi par couleurs !
Nous nous en servons depuis assez régulièrement, lorsque je suis en panne d’inspiration pour le repas : je propose un choix, en montrant les images.
Il comprend alors que non, je ne ferait pas des pâtes avec du riz dans un même repas !
Il comprend alors que non, je ne ferait pas des pâtes avec du riz dans un même repas !
Les codes couleurs sont plus discrets, mais on aperçoit du jaune (tartine ou biscuits sans sucre), du bleu (yaourt ou lait végétal), du vert (compote ou fruit), et, s’il a encore faim, du rouge (oléagineux).
Mon mari se sert également de ces systèmes lorsqu’il prépare les repas (c’est plus rare, car j’aime beaucoup cuisiner !). Cela lui permet de mieux comprendre un régime alimentaire végétalien équilibré, qu’il a encore beaucoup de mal à mettre en place (il est omnivore !).
Si vous avez d’autres petites astuces au quotidien pour faire aimer les fruits et les légumes aux enfants, n’hésitez pas à les mettre en commentaire !!
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